Chaque jour, en France, 2 enfants meurent sous les coups de leurs parents.

« oui, mais là c’est extrême… » me direz-vous. « Une fessée, ça n’a jamais tué personne ! »

Certes, certes. Mais où situer le curseur entre une « simple » fessée et le début de la maltraitance ? La plupart des parents maltraitants le deviennent, dépassés par une situation qui leur échappe. On commence par une petite tape, puis des fessées, des gifles, et c’est l’escalade, souvent involontaire, le parent est dépassé.

NON une fessée n’est jamais anodine.

Contrairement aux idées reçues, l’éducation non-violente n’induit pas une absence de limites. La sanction est privilégiée aux punitions, souvent incomprises par l’enfant et sans effet. L’écoute et le dialogue sont privilégiés aux fessées, le tout dans le but d’instaurer des règles bien précises, dans le respect des besoins de chacun, parents y compris

Ce Mercredi 30 Avril 2014, la journée de la Non-violence éducative fête ses 10 ans ! A cette occasion, nous vous proposons un temps d’échange en boutique de 10h à 12h, avec Sandrine de S Comm C, autour de la thématique : « Sans fessée ni punition… oui mais comment ? »

En attendant, vous pouvez aussi lire l’excellent ouvrage d’Olivier Maurel : La fessée, qui ouvre la réflexion autour des châtiments corporels.

à très bientôt !!!